Histoire

Le colonel et J.F. Kennedy

La question à laquelle personne n’a tenté de trouver une réponse, même boiteuse, est : Pourquoi les scribes kabyles comme Saïd Sadi mentent-il sans rougir en gonflant démesurément les qualités de leurs héros et courir le risque de les faire passer pour des hommes en baudruche ?

Le manifeste Didouche

Le colonel et les enfants

Pour Amirouche, c’était une atteinte à la révolution, il ne pouvait accepter le fait que des gens se soient armés contre elle. Il a rassemblé ses forces et, la nuit venue, il a donné l’ordre de tuer tout le monde, hommes, femmes, enfants, armés ou non. C’était la liquidation totale. Mêmes les maisons furent incendiées.

Aide-moi à le tuer !

Krim Belkacem, l’homme qui agissait avant de réfléchir

Bandes de quartiers

Je voulais vous tuer

Les délires du caporal-colonel

L’offensive imaginaire

Mohammedi Saïd, le légionnaire

Ahcène Mahiouz…Adolf Eichmann ?

Avec Mohammed Said et Aït Hamouda Amirouche, Ahcène Mahiouz est l'un des plus grands tortionnaires et tueurs de la guerre d'indépendance. C'était le parfait effaceur dont la carrière dans la Légion des Volontaires Français et son parcours après la seconde guerre mondiale sont tenus soigneusement à l'abri des regards in

Les enquêtes sont interdites

L’Opération Hors-Jeu

Au commencement, une Mafia

Quand Mohammed Khider commandait au SDECE des armes destinées au maquis de Hocine Aït Ahmed, armes payées avec de l'argent du FLN.

Ce que Hocine Malti n'a pas osé écrire I.

Ce que le "patriote" Hocine Malti n'a pas osé écrire dans ses articles de presse ni dans son livre "Histoire secrète du pétrole algérien", Pierre Péan en parle.

Encore du pétrole.

Pourquoi le FLN-ALN et le SDECE ont mis en commun leurs efforts pour supprimer Mohammed Bellounis et libéré un territoire grand comme la Belgique et la Hollande réunies ?

Ce que Hocine Malti n'a pas osé écrire II

« Vous vous rendez compte qu’une banque arabe a été remplacée par une banque dont tout le monde savait qu’elle était un des bastions financiers du sionisme ! »

Décérébrer les Aurès-N'memcha

Krim est arrivé à Tunis en mai. Cherif était passé colonel de l’ALN en avril. Qui avait aiguillonné Krim à faire du chef de Dar Al-Askri le chef des Aurès ?

D’un Rab à l’autre (*)

Abane, un marabout.

Abane, le tribunal du peuple.

Touche pas à mes fantassins.

Le juge Bérard savait que Abbane, Krim et Ouamrane tournaient du côté du « tournant Rovigo ». Il avait ajouté que Krim portait un costume gris, Abbane un costume noir et Ouamrane un costume bleu marine, cravate rouge. C’était la stricte vérité ; il nous avait mis knock-out.

Mme Veuve Abane-Dehiles.

Recherchée par la police, elle se rend au commissariat renouveler sa carte d'identité arrivée à expiration. Un inspecteur lui délivre une carte valide !

Les interlocuteurs valables

Soustelle aurait été encore plus surpris s’il avait su que Krim, Ouamrane étaient prêts à accepter une "autonomie interne de l’Algérie étalée sur vingt ans"

Les interlocuteurs valables II

Tous, sans exception, avaient dissimulé les deux remises de peine généreusement accordées à Abane Ramdane presque coup sur coup.

Les interlocuteurs valables III

Pourquoi Rabah Bitat a-t-il été arrêté si facilement le 16 mars 1955 ?

Les interlocuteurs valables IV

Comment Rabah Bitat a-t-il été arrêté le 16 mars 1955 ? Est-ce que Hachemi Hadj-Larbi alias l'adjudant Slimane el-Ouahrani y était pour quelque chose ?

Rapport de Hachemi Hadj-Larbi

Hachemi Hadj-Larbi est accusé d'avoir disparu la nuit du 1/11/54, de s'être volatilisé avec une grosse somme d'argent et d'avoir livré Bitat à la police.